Les personnages
Manos Faltaits
Manos Faltaits
Manos Faltaits a été né à Athènes en 3 Janvier 1938, le fils du fameux journaliste, auteur et chercheur Costa Faltaits. Un homme avec une vie politique, artistique et culturelle très active, honoré par l’Académie d’ Athènes pour sa contribution à la conservation de la tradition culturelle de Grèce. Il a fondé le musée Faltaits en 1964.
Il fait des études de loi et des sciences physiques à l’école des Sciences Physiques d’ Université Pandion et à l’école du Loi de l’Université Aristote de Thessalonique, mais il n’a jamais travaillé comme un avocat.
Des premiers ans de sa vie d’étudiant, il était politiquement très actif, organisant et créent la post-guerre mouvement étudiant. Pendant 1955-1958 il a joué un rôle très important comme il était le président de l’Union National des Étudiants. La UNE était présente aux crises nationaux comme cette du Chypre et de l’Épire du Nord et en 1958 était le protagoniste aux meetings des étudiants pour l’unification du Chypre avec la Grèce. En 1962 il a fondu l’Union Panhellénique des Jeunes Lutteurs (UPJL) qui fonctionnait différemment de l’UPJL qu’a était fondu pendant l’Occupation de 1941, organisant les luttes des jeunes contre la globalisation.
Dans la même période, sentant les conséquences catastrophiques pour la tradition grecque de la globalisation, en même temps que les guerres nationales et les luttes sociaux, il a donné des luttes pour le sauvetage et la promotion de l’héritage traditionnel.
En 1963 il a organisé le mouvement pour la renaissance culturelle Grecque, déclarant cette année Année Periklis Giannopoulos, avec la collaboration des plus grands présentateurs de la culture Grecque. C’était le plus grand évènement culturel de l’année dans toute la Grèce. En 1964, quand il avait 26 ans, il a fondu le musée Faltaits, le premier musée folklore en niveau local en Grèce. Il a voué sa vie à ce musée. Pour cette effort et sa participation inavouable pour le sauvetage et l préservation de la tradition Grecque il a été récompensé par l’Académie Athénienne en 1976.
De 1979, avec sa femme Anastasie et la contribution d’un group des amis dédiés, il a organisé le mouvement pour la Renaissance Esthétique, inspiré par l’héritage traditionnelle grecque-ancienne, byzantine et contemporaine.
Parallèlement jusqu’au fin de sa vie il a développé et enseigné en Athènes mais aussi en Skyros la théorie mondiale de Daisme et du communautarisme, de la forme bipolaire d’Harmonie et d’Incongruité, de l’Âme at de la Conscience Universelle, comme une théorie universelle complète et une philosophie voit. En 1993 il a fondu avec Anastasie le Théâtre et le Festival de « Viglatoria » (observatoires) du Palaiopirgou (Château ancien) en Skyros, pendant lequel réalisaient des importantes manifestations culturelles.
L’artisan et l’auteur Manos Faltaits.
Des années 1980 jusqu’’ au fin de sa vie Manos Faltaits a créé une riche collection des œuvres écrits et de la peinture.
En ce qui concerne la peinture il a fait son apprentissage à Dimitri Pikioni et Foti Kontoglou. Il a créé son propre courant artistique qu’il a nommé « peinture psychoratique », qui selon lui « révèle l’âme des sujets dépits, même si sont des personnes humaines ou des arbres ou des bâtiments ».
Il a peintre des centaines des tableaux et designs, mais seulement un petit nombre d’eux sont exposés au musée à cause du manque d’espace. Les dernières œuvres, les a fait vers le fin du Décembre 2012 dans l’hôpital.
Il a écrit plus de soixante œuvres historiques, folkloriques, littéraires, politiques, philosophiques, théâtrales et des poèmes, il reste encore un grand nombre des œuvres que ne sont pas jamais publiés.
Anastasie Faltaits
Anastasie Faltaits
Anastasie Faltaits a été née en 1938 à Chania en Crète. Elle était Professeur de l’Histoire Grecque Moderne à l’université Panteion des Sciences Sociales et Politiques jusque 1979. Elle a publié des études historiques sur l’histoire grecque moderne.
Parmi ces études on trouve : « Concernant les mesures sur le transport maritime prises par Ioanni Capodistria », « Les prêts financiers nationaux pendant la révolution de 1821 et le hypothèque des territoires nationaux », « Consuls et consulats en Skyros pendant l’occupation ottomane », « Les amiraux Skyriens Michail et Démétrios Anestis » etc.
Elle a édité la publication de l’archive des documents historiques de la période révolutionnaire de 1821 de Crète et des archives de la Renaissance Grecque, une publication du Parlement Grec.
Elle s’était occupée avec la littérature assez tôt, elle a écrit sa première nouvel en 1955 intitulé « En chassant mon ombre ».
Pendant la période 1960-1970 elle était une des plus importantes représentatives des femmes de la nouvelle génération des littéraires.
Elle a publié à cette époque-là dans le magasine Guider des articles utilisant l’alias Marcos Eugenikos et des histoires courtes utilisant son nome de famille Anastasie Giannoudaki. Selon les critiques de l’époque son écriture donnait une impression très dynamique.
Les histoires courtes «Si nôtres hommes » et «Les Bateaux Tristes » que parlaient de l’immigration en masse de la jeunesse grecque, étaient grandes succès. La poète fameuse Dialexti Zaugoli-Glezou a constaté sa valeur avec une publication dans un journal quotidien de grande circulation en 1963, comme un des plus importants créateurs représentatifs d’un espoir d’évolution de la créativité littéraire de la nouvelle génération.
Le plus important de ses œuvres pendant cette période était l’annal des luttes de la jeunesse Grecque pour l’union de Chypre avec la Grèce, intitulé « Le chanson trahi ». Elle partageait des expériences personnelles comme elle avait participé à ses luttes elle-même.
En 1971, quand elle a marié avec Mano Faltaits, elle a devenu responsable pour la fonction et l’administration du musée folklore Manos Faltaits, contribuant énormément à l’évolution, le développement et la promotion du musée en Grèce et à l’étranger.
Elle a joué un rôle décisif à l’organisation des activités scientifiques du musée et dans certain occasions ce rôle était exclusif, contribuant de son part au développement du grand mouvement avec Manos pour la renaissance culturelle de notre peuple, avec ces orientations centrées au tour de la Grèce qu’on peut voir même aujourd’hui et portent leur touche.
De 1993 elle s’occupait de l’organisation du Festival Skyrien de « Viglatoria » (observatoires défensives) de Palaiopirgos (Château ancien) et elle mettait en scène les œuvres de Manos Faltaits, interprété par le groupe artistique du musée « Les Skyriens ».
Ses œuvres ont comme sujet la renaissance culturelle des Grecs et un caractère personnel. Ils sont parti d’une création complexe, entre la méditation philosophique, l’annal, le record calendrier de la vie quotidienne et du cours du musée et de la Viglatoria de Palaiopirgos, composant un chronique important du charme exceptionnel.
Ses créations récentes se dirigent vers 3 directions :
La première direction s’occupe du record des grands évènements historiques de l’Occupation et du Guerre Civil (1941-1945) et les dimensions donnés aux circonstances qu’elle a eu pendant cette période comme un enfant.
Œuvres de cette période publiés sont les annales «Zimvragou » (région en Grèce), « De Zimvragou à Thyseio », « Le Fin du grand-père Theohari », « Nouvel An 1942 avec seulement six pièces de maquereau », « Le colocataire Mardohaios ».
Ces œuvres avec quelques que ne sont pas publiés font partie d’une unité complète de la période 1941-1945.
La deuxième direction s’occupe d’une composition innovatrice des calendriers, annales, manifestes idéologiques et de luttes (poèmes et fictions) des évènements historiques, luttes sociétaux et situations en Skyros mais même en Grèce entière. Ce sont des situations et évènements dont elle participe activement avec ses actions, ses réflexions, ses estimations et sa parole. Ces sujets sont surtout de ses luttes personnelles et son attitude de vie.
La troisième direction de sa créativité dirige vers le record et la critique poétique des évènements sociaux en Grèce et le monde entier.
Parmi ces poèmes on trouve le poème « Révolutionnés avec de cause », dont elle s’occupe des révoltes catastrophiques en Athènes ce Décembre et en toute la Grèce.
Constatinos Faltaits
Constatinos Faltaits
Constantinos Faltaits, le père du fondateur du musée Faltaits, était journaliste, auteur et investigateur supérieur de l’époque entre le deux guerres mondiaux (1913-1944). Il Était des premiers membres de l’Union des Éditeurs des Journaux Quotidiens d’ Athènes, et il était correspondant de guerre pendant les guerres Balkaniques et la campagne à l’Asie Mineur et la catastrophe que l’a suivi. Il est considéré comme investigateur innovateur des chansons « Rebetika » et des Roma. Il a aussi contribué au sauvetage de l’œuvre d’Alexandros Papadiamandis. On peut voir des manuscrits de Papadiamandis au musée Faltaits.
Il a été ne en Smyrne en 1891 et il était élevé en Skyros. Il a fini l’École Varvakeio en Athènes et puis il a étudié le Loi et la Philosophie à l’Université d’Athènes. Même qu’il a été nommé Médecin de Loi il n’a jamais pactisé le métier, mais il était fasciné de petite âge du journalisme. Il s’occupe du journalisme activement de 1910, quand il avait 19 ans, jusque 1944.
Il a travaillé pour beaucoup des journaux et magazines comme : « Acropole », «Vers l’Avant », « Parole Libre », « Athénienne », « Parnasse », « Homme Libre », Bouquet », « Grèce Nautique »,… publiant des articles, enquêtes folkloriques, historiques, et ethnologiques, fiction, petites histoires, poèmes, traductions etc. Il signait ses œuvres comme F, K.F., Costas Faltaits, Danaé, Costas Markelos, Un Grec.
Guerres Balkaniques
Pendant les guerres Balkaniques il serve au Marine du Guerre Grecque, aux navires destructeurs et au navire amiral « Georgios Averoff ». Il a participé aux batailles des navires d’Elli et Lymnos, aussi qu’à la bataille des destructeurs aux détroits des Dardanelles et des iles de l’Égée.
À ce période il travaille pour le journal « Acropole » de Vlasis Gavriilidis, envoyant des descriptions du Marine du Guerre, contribuant à la création du mythe du Marine du Guerre Grecque.
Ces descriptions sont publiées en style des lettres que Costes Faltaits signe F, K.F., Costas Faltaits, Danaé et sont publiées à nouveau en 1915 à l’ « Acropole ».
En même temps il a une collaboration pour la publication d’une série des livres sur la guerre avec le journal « Acropole », è travers de la Bibliothèque de Guerre de l’ « Acropole ». Il a écrit « Les inédits de Roi George I », « Les inédits d’Amiral Koundouriotis », « Les inédits du Guerre Grecque-Bulgare », « Les inédits du Majeur Ioanni Velissariou ».
En 1919 il publie l’annal de la bataille marine d’Elli qu’a revendiqué la Distinction des Lettres. Le bataille marine d’Elli a été publié en pièces dans plusieurs livres, quand le magazine « Grèce Marine » publie l’anal en pièces mais à sa entièreté.
Guerre de l’Asie Mineure
En Avril de 1921, Costas Faltaits part pour la Turquie ou il participe à la guerre comme correspondant de la guerre du journal « Vers l’Avant! ». Il suive la guerre à Avgkin, Nicomédie, Prusse, Uşak, Adapazarı, Eskişehir, Karamusal, Kütahya etc.
En Août de la même année il est blessé à la lutte du rivière Sakarya pendant une attaque par aéroplane.
Sa dernière correspondance de la guerre était le Novembre de 1921 de Kopruhisar.
Du moment qu’il est retourné du front en Novembre de 1921, il écrit et publie « Ces dont les Turcs- Histoires des massacres de Nicomédie ». Ce livre a été traduit par le Ministère des Affaires Étrangères en français en 1922 et utilisé par le gouvernement Grecque pour la promotion de la position Grecque aux organismes internationaux.
Costas Faltaits et Alexandros Papadiamandis
Costas Faltaits n’a jamais connu Alexandros Papadiamandis mais il a joué un rôle décisif pour la préservation du nom du grand auteur qui était en train d’être oublié après son mort en 1911.
À cause d’une réunion causale avec les sœurs de Papadiamandis dix ans après son mort était le début d’une série des initiatives du part de Faltaits d’un part d’honorer le grand écrivain et d’autre part de sauvegarder, littérairement, les trois sœurs célibataires. Utilisant le media à travers du grand nombre des publications, Faltaits a eu succès à rendre l’intérêt du cercle littéraire et journalistique mais aussi de l’État vers le sauvetage de l’œuvre de Papadiamandis.
Grâce aux efforts personnels et de son propre initiative le buste de Papadiamandis a été érigé en Skiathos, un mémorial artistique a été organisé, un grand nombre des œuvres inédits de l’écrivain ont été sauvés et publiés, quand ses publications ont contribué au sauvetage de la maison de Papadiamandis et sa conversion en musée.
L’autre monde
Costas Faltaits est considéré comme chercheur innovateur des chansons grecs connues comme « Rebetica » et des Roma.
Il a commencé son immersion au monde de « Rebetica » en 1915 avec l’histoire « L’Autre Monde », dans laquelle on trouve le premier record publié du monde de ce type de chanson et music. Il a continué sa recherche au niveau journalistique avec de nombreuses publications sur la culture de ce monde. Quelque temps après, sans l’aide de professeur de music, il devienne créateur des chansons de ce genre. Il a écrit et composé des chansons pour Stellaki Perpiniadi, Rosa Ashkenazi, Gianni Papasideri, etc. Ses œuvres musicaux sont signés « Costas Faltaits » ou « Costas Poumeliotis ».
En 1929 dans un de ses articles pour le magazine Bouquet il record beaucoup des distiques de « rebetica », classifiés par thème.
Costas Faltaits était le premier chercheur de s’occuper des gitans. Il a fait des records de leur connections avec la chanson traditionnelle, leur allocation géographique en Grèce et les noms de chaque tribu.
Costas Faltaits et Skyros
La contribution de Costas Faltaits au développement de son île natal, Skyros, était très importante. Comme le fondeur et le président du Lien des Skyriens (fondu en 1922) il a contribué à :
- La construction des rues Skyros-Linaria et Skyros- Tris Boukies, la connection côtier Peres-Skyros, le transport entre Skyros et Cymé, mais aussi à la connection téléphonique de Skyros avec Athènes et Chalcis.
- L’envoi d’une équipe spécialisé contre le paludisme en 1919, un période pendant laquelle Skyros avait beaucoup souffrit de la maladie.
- La construction de nouvelle école, gymnasium, la fondation d’école des teintures végétales et l’effort de création d’école industriel.
- La réédition du journal « Skyros ».
- L’effort du développement touristique de Skyros, à travers de l’organisation des excursions à Skyros et de grand nombre des expositions en Athènes.
- La création du musée folklore et archéologique en 1930(il s’agit du premier musée de Skyros et il occupait le veille Mairie) et la création du record historique, mais aussi les efforts d’excavations archéologiques.
- L’érection du monument et l’organisation des fêtes pour le poète Anglais Rupert Brooke, qui a été déclaré mort à Skyros en 1915.
Autres personnages
Autres personnages
Georgadis Faltagis, Gorgis Grimaldi, Démétrios Faltaits, Anna, Maria Et Efrosini Faltaits sont certaines des personnes qui avait influencé la personnalité de Costa Faltaits et qui ont contribué è la naissance et la matérialisation de l’idée de la création du Musée.
Famille Faltagi
Une famille vieille et aristocratique de Skyros descendue s’une époque pro-byzantine, selon l’étymologie du nom de la famille. Ce nom, comme nom ou prénom, est un des plus anciens noms qu’ont survis la prévalence du christianisme.
Le plus vieux record du nom l’on trouve en 1643, quand l’ancêtre Kyparissis Faltagis était à la tête d’une délégation des prévôts Skyriens, qu’était envoyé au Constantinople pour réguler l’installation du Turc « Kadis » (juge).
De cette époque jusqu’aux 1821 membres de la famille étaient prévôts, secrétaires, commissaires et aînés de Khóra de Skyros.
Faltagis Stamatiou
Pendant la période Capodistrienne (1828-1831), une des plus énergétiques personnalités de Skyros était le grand-grand-grand-père de Manos Faltaits, Faltagis Stamatiou. Sa personnalité dynamique et exubérante délimite l’histoire de la famille Faltaits de premières décennies du 19e siècle, quant au même temps il avait un rôle principal aux évènements publics en Skyros des 1821.
Pendant la révolution de 1821 il jouait un rôle important comme il était aîné et commandant de la garnison du Château, à la protection des Skyriens des attaques de pirates » Liapides » (musulmans albanophones immigrés en Grèce au 14e et 15 siècles). Il s’est posé contre les pirates pendant la période Capodistrienne, quand il était capitaine du port de Skyros.
En 1938 il s’est nommé mandataire de Skyros à la Commandement Centrale.
Georgadis Faltagis
Sa gloire posthume est encore vivante en Skyros grâce à ces exploits héroïques. Il a participé à la révolution de 1821, même qu’il était adolescent, et il a participé à la bataille de Faliro avec l’armée de Karaiskakis contre les Turcs de Kioutahi (Reşid Mehmed Paşa) pendant le siège de l’Acropole d’Athènes en 1827.
Giorgis Grimaldi
Il était le grand-grand père d’Anna Faltaits Marcelo-Grimaldi, ami cardiaque, concurrent et collaborateur d’Augustin Capodistria.
Il avait un rôle de premier plan à la campagne pour la libération de Naupacte et du Missolonghi en 1828 et il était collaborateur immédiat d’Augustin Capodistria. Les deux hommes ont sauvé la relique du premier Gouverneur de Grèce, Ioanni Capodistria de la profanation prévue des adversaires à Nauplie.
Fils de la génération hégémonique de Grimaldi de Monte Carlo et Gênes, de la branche de Grimaldi de Chios.
Les Grimaldi sont installés à Chios après la Prise de Constantinople par les Francs de la quatrième Croisade en 1204, et ils faisaient partie de Maona de Chios.
Le blason commun des deux branches était, régénération aigle aux ailes ouvertes, avec des diamants pourpres et or.
Les ancêtres de Giorgi Grimaldi ont participé à la guerre contre les Turcs en 1453 comme officiers d’Giovanni Giustiniani Longo, avec des autres Génois de Chios dans la bataille devant la Porte de Sant-Romain.
Assez des objets précieux de Giorgi Grimaldi sont sauvegardés dans le Musée Faltaits en Skyros.
Sa connection avec le « Viglatoria de Palaiopirgos est évident dans sa descendance des ancêtres des membres de « Viglatoria » et dans la collection des objets précieux qu’on trouve au Musée. Ses histoires personnelles faisaient toujours partie de la formation des membres de la famille et ont influencé leur idéologie et leurs principes.
L’épée de Grimaldi était un élément important de cette formation.
Faltaits G. Démétrios, lettré (1855-1900)
Né et mort en Skyros, il s’est marié en Smyrne à Anna Marcelo-Grimaldi.
Il était particulièrement actif social et culturellement en Smyrne, Odessa et Taganrog en Russie, villes où il était aussi entreprenant.
En Taganrog il a créé une intimité avec le poète connu Achille Parasho et le fameux écrivain Russe Anton Pavlovitch Tchekhov. Grace à sa suggestion son ami d’enfance Agathocle Constandinidis à traduit les œuvres de Tchekhov mais aussi des autres fameux écrivains Russes, et comme si les a introduit au lectorat Grec.
Il a écrit l’histoire de Skyros, des essais philosophiques, mémoires, et il était très actif aux cercles philanthropiques et sociaux sans quittant ses activités culturelles.
Il a laissé plusieurs œuvres inédits
- poèmes
- essais
- discours
- enseignements
- L’histoire de Skyros
- journal
- mémoires des voyages de Smyrne, Constantinople, Terre sainte, Odessa, Trabzon, Chio, Mytilène, Athènes etc.
- Créateur de la Sororité Culturelle de Smyrne
Faltaits Anna
Née et élevée en Smyrne où elle a devenu la femme de Démétrios Georgadi Faltaits. Elle était la fille de Nicola Marcelo et Maria Grimaldi.
En 1893 ils sont installés à Skyros, terre natale des Faltaits.
Elle était la mère de Costa et Maria Faltaits.
Elle a joué un rôle très important dans la vie culturelle et social de Skyros jusqu’au fin de sa vie en 1944.
Les lettres qu’elle a écrites à son fils Costa pour l’exhorter de lutter pour le sauvetage des Skyriens de la famine à cause du blocus naval des Anglais et de l’occupation Allemagne-Italienne pendant le deuxième guerre mondial étaient célèbres.
Elle a eu grande influence à ses enfants, en les enseignant l’altruisme et une conscience supérieure.
Évènement légendé de sa vie, la prière pendant la nuit, au Palaiopirgo, chez elle, avec ses quatre filles l’hiver de 1913, pour le sauvetage des soldats Grecs qui luttaient à Bizáni contre les Turcs et un gel horrible.
Elle reste encore au mémoire de Skyros comme la Damme de Palaiopirgo.
Faltaits Maria (1883-1964)
Née en Smyrne en 1883 et mort en Skyros en 1964.
Était la fille de Démétrios Georgadi Faltaits et Anna Nikola Marcelo.
Elle a s’installée avec ses parent à Skyros en 1893, terre natale de son père et de la famille Faltaits.
Elle a joué un rôle très important dans la vie culturelle et social et elle était une des plus culturelles personnages de Skyros jusqu’au fin de sa vie en 1964.
Elle a inspiré et aidé Aggeliki Hatzimihali, relative de la parte de sa grand-mère Efrosyni Tzanou, avec son œuvre fameux « Skyros ».
Elle a eu une collaboration étroite avec Eva Sikélianou et Aggeliki Hatzimihali pour l’organisation des Festivités Delphiques, représentant la culture traditionnelle de l’île.
Avec son frère Costantino Faltaits elle était l’organisatrice des festivités de la Poésie Éternelle, festivités d’énorme importance, à Skyros en 1931, pour honorer le poète Anglais Rupert Brooke. Ils ont canonisé Skyros comme l’île de la Poésie Éternelle et l’Eldorado de l’Art.
Elle a créé le style de fabrication des meubles Skyrien-byzantin, fashionable en Grèce pendant le période entre-deux-guerres (1919-1939).
Elle a créé la maison Skyrienne au Mairie de Skyros, qu’on peut trouver aujourd’hui au Musée Archéologique de l’île.
Elle a contribué, avec son frère Costantino à la création de la collection archéologique de Skyros, une collection qu’est la base du Musée Archéologique Public.
Elle était pour décennies la plus importante personnalité culturelle de l’île, jouant un rôle du premier plan dans toutes les activités sociales et culturelles des habitants de Skyros.
Sa réputation est encore vivante et son nom est mentionnée des plus anciens habitants avec du grand respect, admiration et affection.
Faltaits Efrosyni (1907-1986)
Née et mort en Skyros.
Fille de Constantinou Malatesta-Fragouli et Anna Grigoriadi. Était la femme de Constantinos Faltaits.
Elle a vraiment contribué à l’organisation du Musée Manos Faltaits, grâce à son esthétique supérieure et savoir profonde de la culture traditionnelle, l’art populaire et le folklore de Skyros.
Elle a donné beaucoup des objets précieux, broderies, et d’autres objets de valeur au Musée et a contribué à l’organisation de sa fonction les premiers ans de sa création, enseignant les visiteurs sur la culture et l’héritage traditionnelle de l’île.